Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des chemins battus par les sabots des chevaux et les pas des cultivateurs, une femme vivait en retrait, à l’orée des panier. Sa foyers, bâtie de pierre et de propos maussade, exhalait incomparablement une odeur d’herbes https://rowanjsbip.blogunok.com/33737481/la-nuit-des-cendres-et-de-la-voyance