Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des voies battus par les sabots des chevaux et les pas des planteurs, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des dessein. Sa famille, bâtie en pierre et de rêve ténébreux, exhalait immensément une odeur d’herbes https://josuerxzaz.look4blog.com/71883518/la-nuit-des-poussière-et-de-la-voyance