Le manoir se dressait, assujettissant, au milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les itinéraires envahies par les ronces, une composition de verre et de métal résistait encore au vies : une serre oubliée, dissimulée à la suite un mur de végétation https://eduardotafmr.bloggazza.com/32808308/la-lumière-retenue