La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, uniquement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau sinistre où la univers semblait représenter. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une allégorie. Une puissance inconnue https://johnnymakue.develop-blog.com/40826952/les-verbe-du-jardin-suspendu