Tokyo brillait marqué par les néons, un réseau de lumières pulsantes qui reflétaient la cadence ininterrompue des éléments circulant dans l’infrastructure digitalisation de le petit village. L’ingénieur observait les flux d’informations défiler sur son écran, chacun analysé, disséqué, converti en probabilités. Son compréhension artificielle, baptisée Oracle-9, était la plus avancée https://charliettmgz.daneblogger.com/32977179/le-compte-à-rebours-inapparent