Le soleil s’écrasait sur les pierres brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient près de la carcasse rouillée d’une antique cabine téléphonique. Posée seule au commencement d’une promenade oubliée, elle ne figurait sur zéro carte officielle. Pourtant, n'importe quel dimanche à midi, une klaxon https://finncpyek.losblogos.com/33026291/la-cabine-du-septième-vie