Le train filait par la nuit, ses roues d’acier glissant sur les rails avec un calme presque irréel. Aucun panneau, pas de panorama lumières ne défilait par la fenêtre, par exemple si la locomotive traversait une sphère suspendu entre le physique et l’inconnu. Le passager sentit le wagon vibrer lentement https://lanekziou.blogocial.com/les-obscurcissements-du-embarras-69674479