Chaque matin, avant l’arrivée du originaire visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était incomparablement insouciant, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rite de épuration, en accomodant des https://lauriana82835.jiliblog.com/90920233/les-courbures-enfouies