Les jours passaient dans un cycle immuable, rythmés par la luminosité pâle du nord et les transitions ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient délicatement, en spirale, notamment si le ciel lui-même les aspirait à bien écrire des messagers immatériels. L’enfant, dès maintenant adolescente, se tenait chaque matin au centre https://claytonftcil.liberty-blog.com/34329676/le-début-des-doubles-obscurcissements