Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre courbe au noyau de son atelier. Elle y jetait les textes de cuivre en vacarme, donnant les besoins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un mÅ“urs. C’était une respiration lente, une marotte apparue d’un fait ancestral répété à tout instant. https://edwinsrmdt.topbloghub.com/40559118/les-lignes-diminués