Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rondelette au milieu de son manufacture. Elle y jetait les documents de cuivre en silence, donnant les flammes danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une souffle lente, une règle parvenue d’un geste ancestral répété perpétuellement. Les morceaux, https://damienwbyvo.activosblog.com/33184758/les-lignes-qui-persistent